Aztèques – Saison 1 – Harem

azteques

Auteur : Eric Costa

Genre : Historique

Edition : Auto-édité

Titre : Aztèques – Saison 1 – Harem

Quatrième de couverture :

Une jeune esclave peut-elle faire tomber un Empire ?

Lorsqu’elle retrouve son village en feu et son chien éventré, Ameyal se jure d’exterminer les Aztèques qui les attaquent. Mais son courage et sa volonté ne peuvent rivaliser contre les guerriers.

Elle perd tout, famille, amis, son village est détruit et elle est emportée.

Rabaissée à l’état d’esclave, plongée dans un harem où les intrigues font loi, où sauver sa peau se joue derrière chaque porte, Ameyal doit faire face aux pires injustices, trahisons et humiliations.

Au-delà de ces épreuves, une question s’impose : existe-t-il un cage assez grande pour retenir la fille de l’aigle ?

Quelques mots sur l’auteur :

Eric Costa a fait ses études de dramaturgie pendant trois ans.

« Harem: Aztèques » (2017) a été récompensé par le prix du Jury Amazon KDP au salon du livre de Paris 2017.

Ma chronique :

Je tiens tout d’abord à remercier Eric Costa pour l’envoi de son premier roman et pour sa confiance. J’insiste vraiment sur mes remerciements car j’ai eu un énorme coup de cœur pour ce premier tome d’une saga qui est très prometteuse.

Vous devez savoir que je suis un fan de lecture historique avec des héroïnes fortes et rebelles. Je peux vous dire que dans ce roman j’ai été servi. Côté histoire, l’auteur a choisi l’époque précolombienne pour son roman. Je suis déjà de base très admiratif de cette époque et féru des mythes sur les peuples aztèques, maya, incas … je ne pouvais donc que adhérer à ce choix. Mais la grande force de Eric Costa est toutes les recherches qu’il a du mener avant d’écrire son roman. Car, ce n’est pas juste une histoire, c’est avant tout un véritable roman historique, qui nous en apprend beaucoup sur la culture aztèque, les mœurs et la vie à cette époque. Cela va jusqu’au nom des personnages et de certaines choses. Donc oui, nous sommes dans un roman, mais une fois ce livre fermé, nous avons appris des choses, et cela moi, j’adore. En plus, Eric Costa, à la fin de son livre, propose un lexique, une galerie des personnages et nous en dit plus sur les dieux évoqués à travers les pages dans un panthéon aztèque.

En plus de son côté historique, Aztèques a une intrigue comme je les aimes. Tout commence par une catastrophe qui touche notre héroïne. C’est à partir de là que tout s’emballe et que Ameyal, la jeune villageoise va petit à petit devenir une femme forte et rebelle à travers toutes les épreuves qu’elle va traverser. Et ce n’est que le tome un, alors cela promet du lourd par la suite, parce que la pauvre elle a vécue des choses inimaginables. Comme son nom l’indique, l’histoire se déroule dans un harem, donc pour les connaisseurs une sorte de huis-clos avec des secrets, des mystères, des intrigues et où l’on ne peut faire confiance qu’à sois même. J’ai déjà lu des romans se déroulant dans ce genre d’endroits, mais pour le coup, celui-ci est vraiment bien détaillé et l’histoire se passe quasiment exclusivement à l’intérieur de ce harem.

Bref, j’ai eu un véritable coup de cœur pour ce premier tome à l’histoire addictive et avec lequel, j’ai voyagé dans le temps. Ce n’est vraiment pas étonnant que Eric Costa a reçu le prix du jury Amazon Kindle lors du salon du livre Paris 2017. J’ai hâte de découvrir la suite et de me replonger aux côtés de Ameyal.

Ma note : 10/10

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