Auteur : Stefan Zweig
Édition : Le Livre de Poche
Genre : Nouvelle
Titre : Lettre d’une inconnue suivie de La ruelle au clair de lune
Quatrième de couverture :
Un écrivain viennois apprend en lisant son courrier qu’une femme l’aime en secret d’un amour absolu depuis des années… Une nuit, un voyageur rencontre dans un bar un homme autrefois dominateur, aujourd’hui humilié par une fille à matelots… Ces deux nouvelles publiées en 1922 témoignent de l’art de Stefan Zweig pour dépeindre les tourments de l’amour non partagé, la passion qui brûle les cœurs et détruit les vies…
Quelques mots sur l’auteur :
Né à Vienne en 1881, fils d’un industriel, Stefan Zweig a pu étudier en toute liberté l’histoire, les belles-lettres et la philosophie. Grand humaniste, ami de Romain Rolland, d’Émile Verhaeren et de Sigmund Freud, il a exercé son talent dans tous les genres (traductions, poèmes, romans, pièces de théâtre) mais a surtout excellé dans l’art de la nouvelle (La Confusion des sentiments, Vingt-quatre heures de la vie d’une femme), l’essai et la biographie (Marie-Antoinette, Fouché, Magellan…). Désespéré par la montée du nazisme, il fuit l’Autriche en 1934, se réfugie en Angleterre puis aux États-Unis. En 1942, il se suicide avec sa femme à Petrópolis, au Brésil.
Ma chronique :
Voici ma première rencontre avec Stefan Zweig, un auteur qui j’avoue me faisait un peu peur, je ne saurais vraiment expliquer pourquoi, mais il fait parti de ces grands auteurs classiques.
Concernant la première nouvelle, Lettre d’une inconnue, j’ai tout simplement adorée et dévorée cette lettre. Stefan Zweig nous offre ici, un exemple d’amour tellement puissant, un amour qui n’attend rien en retour, c’est terriblement bien écrit. C’est court, mais c’est un texte bouleversant qui ne peut laisser personne indifférent. J’aime beaucoup cette idée de la lettre non signée, du coup écrite à la première personne et dévoilant avec une innocence touchante, avec un amour débordant mais également avec un spleen et une tristesse absolue des sentiments pleinement vécus.
En ce qui concerne la seconde nouvelle, La ruelle au clair de lune, je dois dire que je suis totalement passé à côté. En même temps c’était dure de suivre Lettre d’une inconnue.
Voilà, première découverte de Stefan Zweig mais certainement pas la dernière.
Ma note : 08 / 10
Comme toi j’avais très peur de découvrir cet auteur… Mais c’est à côté de lettre à une inconnue que je suis passée 😅
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Qu’est-ce qui ne t’a pas plu dans cette lettre ?
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Je l’avais trouvé fausse et narcissique…
Mais je viens de retrouver mon article et c’est « lettre d’une inconnue » et pas à une inconnue… Donc peut-être pas la même lettre finalement !!!
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Si c’est la même c’est moi qui est fait une faute, du coup merci de me l’avoir fait remarquer
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Au moins j’ai servi à quelque chose Ahah !
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😉
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J’avais succombé également à Lettre d’une inconnue, ma meilleure lecture de l’auteur.
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Ma première de cet auteur, je pense en lire d’autre l’année prochaine 😉
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