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L’un des nôtres

Auteur : Larry Watson

Édition : Gallmeister

Genre : Contemporain

Titre : L’un des nôtres

Quatrième de couverture :

Dalton, Dakota du Nord, 1951. Après la mort tragique de leur fils, George et Margaret Blackledge doivent maintenant accepter d’être séparés de leur petit-fils adoré, Jimmy. Car leur belle-fille, Lorna, vient de se remarier à un certain Donnie Weboy et l’a suivi dans le Montana. Hostile à l’égard de Donnie qu’elle soupçonne de maltraiter la jeune femme et l’enfant, Margaret décide de se lancer à leur recherche pour ramener Jimmy coûte que coûte. George ne peut que plier devant la détermination de son épouse. En s’approchant peu à peu de leur but, les Blackledge découvrent le pouvoir du clan Weboy, qui semble empoisonner toute la région. Et la vérité éclate très vite : cette puissante famille, dirigée par une femme redoutable, ne lâchera jamais le garçon sans combattre.

Quelques mots sur l’auteur :

Larry Watson est né en 1947 à Rugby, dans le Dakota du Nord. Fils et petit-fils de shérif, il rompt la tradition familiale et se lance dans l’écriture. Auteur de plusieurs romans et recueils de nouvelles traduits en une dizaine de langues, il a été récompensé par de nombreux prix littéraires. Montana 1948 a, dès sa parution aux États-Unis en 1993, été reconnu comme un nouveau classique américain.

Aujourd’hui, Larry Watson vit et enseigne dans le Wisconsin

Ma chronique :

Tout d’abord, merci à Gallmeister pour l’envoi de ce roman. J’ai déjà lu Larry Watson, l’année dernière avec son premier roman, Montana 1948, un roman que j’avais bien aimé. J’étais vraiment curieux et enthousiasmé par celui-ci qui est sorti au début du mois. L’un des nôtres à été adapté au cinéma en 2020 avec Kévin Costner. Je l’ai lu dans le cadre du #challengegallmeister pour le thème « C’est la vie ».

J’étais donc curieux par ce roman, avoir comme protagonistes principaux des grands-parents, j’ai trouvé cela intéressant et pas commun. Je n’ai absolument pas été déçu. Margaret et George Blackledge sont exactement ce à quoi je m’attendais, ils représentent les piliers d’une famille, c’est les matriarches. En plus ils s’aiment énormément et n’ont pas besoin de mots pour se le dire. Ils s’agit de deux personnages que j’ai beaucoup aimé.

Larry Watson a ce talent de pouvoir faire passer plein de choses et d’émotions en très peu de mots. J’avais déjà eu ce ressenti avec Montana 1948 et de nouveau avec celui-ci. Il n’y a pas de longues descriptions, pas de longues phrases, mais les émotions passent, l’imaginaire se met en place et nous transporte dans le Dakota du Nord et dans le Montana.

J’ai beaucoup aimé cette histoire, cette sorte de rivalité familiale, de clan, de nom. Avoir deux grands-parents qui partent « au front » pour pouvoir récupérer leur petit fils, l’enfant de leur fils décédé brutalement. Ils vont affronter une famille menée à la baguette par une femme forte et impitoyable. Une scène m’a énormément marquée, celle pendant laquelle les Blackledge dinent chez les Weboy. Larry Watson a réussi à donner à ce passage une ambiance sombre et lourde, pleine de sous-entendus, j’ai adoré.

C’est donc un roman que je ne peux que vous conseiller, un page turner nous entrainant sur les routes du Dakota du Nord et du Montana. Jusqu’à où sont-ils prêts à aller pour leur famille, leur nom et par amour.

Ma note : 09/10

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Les serpents de la frontière

Auteur : James Crumley

Édition : Gallmeister

Genre : Polar

Titre : Les serpents de la frontière

Quatrième de couverture :

Cela fait des années que Milo a arrêté de boire, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ça ne lui a pas réussi. Dépossédé de son héritage par un escroc, il finit par débusquer son vieux pote Sughrue au fin fond du Texas. Le plan est simple : à eux deux, ils vont mettre à profit leur expérience d’enquêteurs peu conventionnels pour retrouver l’escroc et rendre une justice exemplaire. Accessoirement, Milo entend “arrêter d’arrêter” les substances déconseillées pour la santé. Mais Sughrue a lui aussi quelque chose à demander. Toujours incontrôlable, il s’est mis à dos une bande sacrément dangereuse, les “serpents de la frontière”. Des serpents connus pour ne pas faire de quartier. Sauf que Sughrue n’a pas le sens de la mesure, et puisque Milo est là…

 
Les deux héros de James Crumley conjuguent leurs fulgurances et leur folie dans une quête qui les entraîne au cœur des déserts du Mexique. 

Quelques mots sur l’auteur :

James Crumley est né à Three Rivers, au Texas, en 1939. Il sert deux ans dans l’armée, aux Philippines, puis continue ses études et sort diplômé de l’Université de l’Iowa. Au milieu des années 1960, il part vivre et enseigner dans le Montana, un État qu’il ne quittera plus et où il côtoiera notamment Richard Hugo et James Lee Burke.

Peu après son arrivée à Missoula, en 1969, il écrit son premier roman, Un pour marquer la cadence, avec comme toile de fond la guerre du Viêt Nam. En 1975 paraît Fausse Piste (The Wrong Case), le premier roman d’une saga mettant en scène Milo Milodragovitch, un privé mélancolique vétéran de la guerre de Corée. Suivront Dancing Bear en 1983, Bordersnakes et The Final Country en 1996. En 1978, James Crumley écrit The Last Good Kiss, le premier livre d’une nouvelle saga qui introduit un nouveau privé : C. W. Sughrue. Puis, en 1993, The Mexican Tree DuckBordersnakes (où Sughrue et Milodragovitch se rencontrent) et The Right Madness en 2005.

Ces deux personnages, antihéros excessifs en tout, rassemblent toutes les obsessions et pas mal des traits de caractère de leur créateur : vétérans du Viêt Nam, divorcés maintes fois, portés sur les femmes dangereuses, l’alcool, les drogues dures, les armes à feu et les nuits sans sommeil, toutes choses en général censées représenter un danger pour eux ou pour autrui.

James Crumley décède le 17 septembre 2008, à Missoula. Il est aujourd’hui considéré par ses pairs comme un des plus grands auteurs de polar. Son œuvre, l’une des plus emblématiques du roman noir, est en voie de retraduction intégrale chez Gallmeister par Jacques Mailhos.

Ma chronique :

J’ai finis l’année avec James Crumley et ça c’est juste top. J’adore tellement cet auteur, j’attend avec impatience le mois de novembre pour la réédition annuelle d’un de ses titres chez Gallmeister.

Et là, quel titre !!! Les serpents de la frontière… où la rencontre entre Milo et Sughrue… Et bien, cela détone, c’est absolument jouissif. J’adore ces deux détectives, mais là ensemble, franchement c’est le pied. On les retrouve entre le Texas, la Californie et le Mexique pour de longs trajets en voiture et forcément des arrêts dans des bars et des motels. Ce que j’aime bien avec Crumley c’est qu’il nous emmène dans des endroits mal famés où drogue, alcool et sexe sont à leur paroxysme.

Tout le long du roman, on alterne les points de vues entre Milo et Sughrue ce qui est super intéressant car cela nous permet de rentrer dans leurs têtes, d’en apprendre plus sur eux et sur leurs passés. Et franchement, être dans la tête de ces deux là, c’est jubilatoire, surtout qu’ils sont rarement sobres ces messieurs. Cela donne donc quelques réflexions philosophiques assez mémorables.

Concernant l’intrigue, Sughrue veut se venger d’avoir faillit y passer quelques mois auparavant, tandis que Milo lui veut récupérer son argent… Oui celui qu’il a tant attendu et bien il lui a été soufflé sous le nez avant même qu’il puisse en profiter. Ils sont donc bien énervés nos deux lascars et cela va faire des étincelles. Je dois avouer que j’ai vraiment eu du mal à suivre cette intrigue pas très claire pour moi. mais bon, je ne pense pas que c’était l’objectif premier de Crumley.

D’ailleurs Crumley s’est surpassé avec cet opus, son style inimitable nous offre encore un très très grand polar noir. J’adore, c’est un gros kiff à chaque fois. J’ai maintenant hâte de retrouver les deux héros chacun de leur côté, cette fois peut-être de retour dans le Montana.

Ma note : 09/10

Kingdomtide

Auteur : Rye Curtis

Édition : Gallmeister

Genre : Contemporain

Titre : Kingdomtide

Quatrième de couverture :

Seule rescapée d’un accident d’avion, Cloris Waldrip, soixante-douze ans, se retrouve piégée au fin fond des montagnes du Montana. Face à la nature impitoyable, elle ne peut compter que sur sa ténacité pour survivre. La ranger Debra Lewis, résolue à la secourir, se lance sur sa piste, suivie de quelques autres sauveteurs. Mais les jours passent, et l’espoir s’étiole. Quand, épuisée, Cloris se trouve confrontée à ce qu’elle prend pour un miracle, puis pour un fantôme, elle hésite à en croire ses sens. Mais s’il existe quelque part un royaume des spectres, ce pourrait bien être dans les forêts du Montana.

Emplie d’éléments naturels envoûtants, cette surprenante aventure réunit des personnages troublants et inattendus qui s’accrochent désespérément à la vie.

Quelques mots sur l’auteur :

L’auteur est né au Texas où il a grandi dans un ranch isolé. Diplômé de l’université de Columbia, il vit maintenant dans le Queens à New York. Kingdomtide est son premier roman.

Ma chronique :

J’aime les éditions Gallmeister, ça vous le savez déjà, mais voilà qu’une fois encore j’ai un gros coup de coeur pour un de leur roman. Le premier de Rye Curtis, un jeune auteur, Kingdomtide un livre à la couverture et au contenu hypnotique.

Oh oui, j’ai complètement été hypnotisé par cette histoire et par la plume de Rye Curtis. Pourtant, de base le thème ne m’attirait pas plus que cela, il faut dire qu’avoir un accident d’avion et être le seul survivant dans une la nature fait parti de mes pires angoisses. Mais là, c’est juste fantastiquement bien écrit. Je suis hyper impressionné par la maturité de l’écriture de l’auteur qui est plutôt jeune. Il y a une réelle force dans son écriture, je me suis carrément cru dans la Bitterroot en compagnie de Cloris.

Alors on est dans du Nature Writing c’est certain, avec la montagne, la forêt, la rivière, les animaux sauvages, comme dit plus haut on s’y croirait. Mais ce n’est pas que cela, c’est un roman avec des personnages tous plus barrés les uns que les autres, c’est génial, on ne s’ennui pas une seconde. D’un côté il y a Pete et Claude qui sont à la recherche d’une espèce de fantôme, ensuite il y a Bloor et Jill, le père et la fille vraiment, mais vraiment déjantés et qui gère un peu tout ce petit monde il y a Debra Lewis, consommatrice hallucinante de Merlot (certainement le mot qui revient le plus dans ce roman, demandez donc à ChinooK 😉 ). Cette dernière est carrément dézinguée par la vie, elle n’a pourtant pas quarante ans, mais c’est la seule qui croit dur comme fer que Cloris est en vie et qui organise des recherches. Il y a donc aussi Madame Waldrip avec ses soixante douze ans et une force pour la vie qui pourrait être un exemple, c’est d’ailleurs malgré les épreuves qu’elle traverse, certainement la plus sensée de tous. Elle va vivre et survivre dans ces montagnes des choses dingues et elle n’est peut-être pas toute seule dans ces contrées sauvages.

Mais c’est également un roman qui explore la nature humaine, qui parle de la vie, de solitude et des relations entre chacun. J’ai beaucoup aimé quand Cloris raconte sa vie dans le Texas avec un regard très critique c’est excellent. La relation entre Lewis et Jill est également très intéressante. L’ambiance et les situations sont parfois dérangeantes mais cela fait parti du tout et j’ai trop aimé.

Vous l’aurez compris j’ai tout aimé dans ce roman, un véritable coup de coeur. Un roman pour lequel j’ai eu de la peine de tourner la dernière page et que je vous recommande fortement. Je ne les pas vu beaucoup tourner sur les réseaux et c’est vraiment dommage.

Ma note : 10 / 10

Montana 1948

Auteur : Larry Watson

Édition : Gallmeister

Genre : Contemporain

Titre : Montana 1948

Quatrième de couverture :

« De l’été de mes douze ans, je garde les images les plus saisissantes et les plus tenaces de toute mon enfance, que le temps passant n’a pu chasser ni même estomper. » Ainsi s’ouvre le récit du jeune David Hayden. Cet été 1948, une jeune femme sioux porte de lourdes accusations à l’encontre de l’oncle du garçon, charismatique héros de guerre et médecin respecté. Le père de David, shérif d’une petite ville du Montana, doit alors affronter son frère aîné. Impuissant, David assistera au déchirement des deux frères et découvrira la difficulté d’avoir à choisir entre la loyauté à sa famille et la justice.

Quelques mots sur l’auteur :

Larry Watson est né en 1947 à Rugby, dans le Dakota du Nord. Fils et petit-fils de shérif, il rompt la tradition familiale et se lance dans l’écriture. Auteur de plusieurs romans et recueils de nouvelles traduits en une dizaine de langues, il a été récompensé par de nombreux prix littéraires. Montana 1948 a, dès sa parution aux États-Unis en 1993, été reconnu comme un nouveau classique américain.

Aujourd’hui, Larry Watson vit et enseigne dans le Wisconsin.

Ma chronique :

Le Totem n° 1… Je l’ai trouvé sur Vinted il y a quelques temps et je n’ai pas résisté longtemps à l’envie de le lire.

Larry Watson nous offre avec ce roman un grand classique de la littérature américaine. Tout est parfait dans ce roman qui est relativement court. Tout d’abord, le narrateur, un jeune garçon. Cela donne une vision pleine d’innocence et surtout sans voyeurisme. Et puis les autres personnages sont complexes comme j’aime. Surtout le père qui est tiraillé entre son esprit de justice et ses liens familiaux. Surtout l’histoire en elle-même, c’est simple, efficace cela va droit au but, c’est noir, bref c’est du Gallmeister.

J’ai aimé la rudesse de cette histoire, la rudesse des descriptions, la rudesse du Montana, c’est tout ce que j’aime dans mes lectures américaines. Et il y a comme souvent dans ces romans, du racisme avec les indiens, une fois de plus parqués et presque non reconnus comme hommes en tant que tel. Et bien sûr, il y a les armes, éléments importants dans ce roman.

Voilà donc un grand roman que j’ai dévoré en une journée. Avec un passage dans le monde adulte par la violence et la toute puissance que peut avoir une famille sur une petite ville du Montana. Du coup, jusqu’où aller pour ne pas écorcher l’image de la famille, j’ai adoré la position du père et son choix final.

Bref, encore un Gallmeister que je vous invite à découvrir.

Ma note : 10 / 10

Le canard siffleur mexicain

canard

Auteur : James Crumley

Édition : Gallmeister

Genre : Polar

Titre : La canard siffleur mexicain

Quatrième de couverture :

Et c’est reparti pour C.W. Sughrue, l’inoubliable privé déjà croisé dans Le dernier baiser, roman tout aussi mythique de Crumley. On n’oublie pas la ville de Meriwether, Montana, après avoir accompagné ses personnages. Sughrue, cette fois, est chargé par une paire de jumeaux géants de récupérer des poissons tropicaux rares auprès d’un mauvais payeur connu de tous pour avoir, un jour, mâché le ney d’un flic avant de l’avaler. Un gentil petit gars ce Norman L’Anormal ! Un peu chef de bikers aussi, du pire gang du pays. Rien de grave pour Sughrue qui en a vu d’autres. Norman, c’est sûr, rendra poliment les petites merveilles avec ce qu’il faut d’eau claire… Ce n’est qu’une broutille, un prélude agité… L’invraisemblable est ailleurs. Quelque part. Dans cet immense pays que Sughrue va de nouveau traverser à la recherche d’une mère…

Quelques mots sur l’auteur :

James Crumley est né à Three Rivers au Texas en 1939. Il sert deux ans dans l’armée, aux Philippines, puis continue ses études et sort diplômé de l’Université de l’Iowa. Au milieu des années 1960, il part vivre et enseigner dans le Montana, un État qu’il ne quittera plus et où il côtoiera notamment Richard Hugo et James Lee Burke. Peu après son arrivée à Missoula, en 1969, il écrit son premier roman, Un pour marquer la cadence, avec comme toile de fond la guerre du Viêt Nam.

Ma chronique :

Encore un James Crumley que j’ai la chance de pouvoir lire grâce à Gallmeister et si vous avez l’habitude de me suivre, vous savez que j’aime beaucoup cet auteur de très bons polars.

Me revoilà avec C.W Sughrue parti à l’aventure à la recherche de la mère d’un vieux biker complètement drogué et alcoolique, mangeant des poissons rouge et tirant sur des rats pour se défouler. Encore une fois Crumley embarque son détective dans une enquête qui commence on ne sait trop comment.

J’ai déjà pu le dire dans ma chronique précédente, la première enquête de Sughrue, Le dernier baiser, mais j’ai une vrai préférence pour l’autre détective mythique de Crumley, Milo Milodragovitch. Je trouve Sughrue un peu moins mordant que son collègue, ce qui nous donne tout de même un détective complètement à la ramasse.

Alors cette nouvelle enquête … Et bien je dois avouer que ce n’est pas la meilleure que j’ai pu lire de cet auteur. Tout d’abord, j’ai apprécié pas mal de choses, le road trip entre le Montana et le Mexique, les relations de C.W avec les femmes et Lester mais c’est surtout la bande avec laquelle il s’entoure que j’ai aimé. Vous savez ça fait un peu comme dans certains jeux vidéos d’aventure, vous commencez tout seul, puis vous rencontrez un compagnon, puis un autre … jusqu’à avoir toute une bande qui vous suivra à la vie, à la mort. Et bien c’est cela dans ce roman, et tous les compagnons de C.W sont tous aussi dingues que lui ce qui présage des moments d’anthologie.

Ce que j’ai moins aimé au contraire, c’est surtout le fait que cela part vraiment dans tous les sens. C’est trop, vraiment trop et cela m’a complètement perdu, j’ai terminé le livre, mais je n’ai toujours pas compris réellement le pourquoi du comment … Et c’est toujours frustrant dans ce genre de roman. Autre point que j’ai trouvé à la longue négatif, c’est le Vietnam, je sais bien que Sughrue est un vétéran de cette guerre, mais là c’était vraiment trop et ça tombait des fois un peu n’importe quand. Cela a contribuer au fait de me perdre.

Autre point qui m’a plutôt plu, c’est les références à Milo, même s’il n’est jamais cité, pour ceux qui ont déjà lu ces aventures, le clin d’oeil à la toute fin est juste trop bien. Dans la même veine, je trouve dommage qu’il n’y ai aucune référence à la dernière aventure. Bon après, comme dans chaque Crumley, il y a des répliques et des scènes d’anthologie qui fait de cet auteur vraiment un des maîtres du genre.

Ma note : 07 / 10